Quand vient la fin de l'été sur la plage, il faut alors se quitter... 🎶
Par Bastien, fondateur et roi des pompons. Ben oui, on a gardé le meilleur pour la fin !
Ahlala… Je veux pas jouer le vieux mais je faisais un carton en vacances quand je sortais ma guitare et que je chantais cette chanson (la seule que je connaissais avec Wonderwall). C’était les années 2000, le temps des Renault, Nevada et du S Club 7. Je vous avoue qu’à cet âge, j’étais loin d’imaginer tout ça : monter une boîte, la voir se structurer, grandir, embarquer tous ces gens dans ce grand projet qu’est Cabaïa. C’est fou !La journée d’un fondateur de Cabaïa, à quoi ça ressemble ? C’est tellement décousu que ça me parait compliqué de vous expliquer tout heure par heure comme dans les précédents épisodes. Je vais plutôt vous parler d’un truc.
Mon film préféré, c’est Rasta Rocket. C’est l’histoire vraie de rois du sprint en Jamaïque qui se retrouvent à faire du Bobsleigh aux Jeux olympique d’hiver. Je compare toujours Cabaïa à ces Jamaïcains. Ouais, on est comme des Jamaïcains au milieu des Suisses, des Allemands et des Autrichiens à une compétition de bobsleigh. Pour nous, ces pays là, c’est les monstres du commerce : ils sont surentrainés, viennent des meilleurs écoles, appliquent des process à la perfection, travaillent en costume, ont des bureaux propres et rangés…
Chez Cabaïa, on est pas surdiplômés, d’ailleurs on s’en fout un peu du diplôme, mais on a tous des histoires folles à raconter. Il y a Lorraine, une ancienne juriste qui s’ennuyait et qui a décidé de tout plaquer, d’apprendre sur le tas pour aujourd’hui être la directrice produit. Il y a Romain, un ancien rugbyman qui est aujourd’hui directeur commercial. Il y a Emilien, co-fondateur de Cabaïa, ancien ingénieur nucléaire. Flora, qui a fait des études de mathématique avant de se lancer dans le graphisme. Il y a aussi Léa, arrivée en stage au service client il y a quelques années et qui aujourd’hui pilote le site internet…
Sur le papier, ça fait une sacrée équipe de bras cassés mais il y a chez toutes ces personnes et chez tous ceux qui travaillent chez Cabaïa ce supplément d’âme, ce truc qui fait que même quand les bureaux ressemblent à un champ de ruine à Noël, on continue d’avancer.On bouscule les codes en faisant toujours différemment, toujours en équipe, toujours ensemble. Des gens pensaient qu’on allait se faire balayer : une petite marque qui vend des bonnets pour l’hiver et qui s’appelle Cabaïa en référence à Copa Cabana, ça fait vraiment jamaïcains aux jeux olympique d’hiver !
Et pourtant, 6 ans plus tard, on est toujours là, la team s’agrandit et une nouvelle rentrée s’annonce avec plein de nouveaux défis, plein de nouveaux produits, plein de surprises, plein de galères mais je ne vous en dis pas plus !
Belle fin d’été à tous !
Bastien - le roi du pompon